Rendez-vous à l’église de la Chenalotte.
Michel va nous guider tout au long de cette journée. Le temps est limite au départ mais très vite la douceur printanière va s’installer pour ne plus nous quitter.
En passant devant la ferme de Combe du Plane (1080 m), nous sommes dans l’ambiance Haut Doubs avec ses pâturages verdoyants garnis de sapins. Quelques montbéliardes pas du tout apeurées, mais le regard méfiant, semblent nous dire on est chez nous ici ! Allez les « filles » on ne fait que passer.
Le parking du saut du Doubs est plein, toutes les places sont occupées. Au point bas au bord du Doubs, il est midi, le bel abri en bois est libre, les 10 randonneurs ont le choix des tables pour la pause casse-croute.
Au retour, Michel propose de passer la frontière par la passerelle histoire de voir le Saut du Doubs côté Suisse.
Au bar resto, petite halte devant ces plantes gris bleuté, au feuillage découpé qui dans les années 1920 fit de Pontarlier la capitale mondiale de l’absinthe qui rendait fou et qui fut interdite.
Au belvédère du saut du Doubs côté France (il est plus beau de ce côté), nous allons attaquer la grimpette au fort pourcentage pour arriver aux Taillards, puis la forêt de Noêl Cerneux.
Une table perdue dans les bois mais combien agréable pour les 4 heures va signer la fin de la rando, il reste 800 m à faire.
La petite église de la Chenalotte est en vue, les 16 km sont bouclés avec 580 m de dénivelé, reste plus qu’à trouver un « abreuvoir » pour une « mousse « bien fraîche ».
Une rando classique connue de tous mais qu’on retrouve avec plaisir comme si on la découvrait pour la première fois.
Dicton du jour : l’homme jeune marche plus vite que l’ancien, mais l’ancien connaît le chemin.
Christian D.
Michel va nous guider tout au long de cette journée. Le temps est limite au départ mais très vite la douceur printanière va s’installer pour ne plus nous quitter.
En passant devant la ferme de Combe du Plane (1080 m), nous sommes dans l’ambiance Haut Doubs avec ses pâturages verdoyants garnis de sapins. Quelques montbéliardes pas du tout apeurées, mais le regard méfiant, semblent nous dire on est chez nous ici ! Allez les « filles » on ne fait que passer.
Le parking du saut du Doubs est plein, toutes les places sont occupées. Au point bas au bord du Doubs, il est midi, le bel abri en bois est libre, les 10 randonneurs ont le choix des tables pour la pause casse-croute.
Au retour, Michel propose de passer la frontière par la passerelle histoire de voir le Saut du Doubs côté Suisse.
Au bar resto, petite halte devant ces plantes gris bleuté, au feuillage découpé qui dans les années 1920 fit de Pontarlier la capitale mondiale de l’absinthe qui rendait fou et qui fut interdite.
Au belvédère du saut du Doubs côté France (il est plus beau de ce côté), nous allons attaquer la grimpette au fort pourcentage pour arriver aux Taillards, puis la forêt de Noêl Cerneux.
Une table perdue dans les bois mais combien agréable pour les 4 heures va signer la fin de la rando, il reste 800 m à faire.
La petite église de la Chenalotte est en vue, les 16 km sont bouclés avec 580 m de dénivelé, reste plus qu’à trouver un « abreuvoir » pour une « mousse « bien fraîche ».
Une rando classique connue de tous mais qu’on retrouve avec plaisir comme si on la découvrait pour la première fois.
Dicton du jour : l’homme jeune marche plus vite que l’ancien, mais l’ancien connaît le chemin.
Christian D.