Prochaine Rando : 21/11/2024


Villars-lès-Blamont

19/08/2023

Médière, le 17 août 2023

Randonnée faite en 2018, René nous l'a propose en sens inverse pour éviter les chemins goudronnés à découvert l'apm, au vu de la météo.
Il nous guide avec 5 autres marcheurs dont Célian qui est encore en vacances, départ donc de Médière pour passer aux abords de l'usine hydro-électrique de la Prétière, d'une stèle qui indique qu'un Sergent de 22 ans est "mort pour la France" nous fait remarquer René.
Notre balade se poursuit par Blussengeaux, de jolies demeures fleuries et nous arrêtons devant un puits à balancier qu'un "ancien" assure l'entretien et nous compte son origine.
Tout en longeant les méandres du Doubs, nous sommes surpris par une petite averse qui ne durera pas et découvrir l'entrée du Moulin. Avant d'arriver au pont du chemin de fer, pose casse croute où Célian nous montre ses chefs d'oeuvre en peinture, très doué ce jeunot de 13 ans.
Après cette pose, sur la route ensoleillée de superbes chevaux, puis traversons une vaste forêt avec très peu de dénivelé (A. et J. se sont un peu attardées auprès des mûriers)...
Une petite pose rafraichissante avant de reprendre la route et merci à René sans oublier Christine pour ses délicieux macarons.
Jeanne C.

18/08/2023

La combe de Biaufond, le 17 août 2023

10 petits loups démarrent avec une météo capricieuse. Nous longeons les berges du Doubs sur 1km. Au restaurant de la Rasse, Marie-Thérèse nous annonce la bonne nouvelle coté météo : pluie pour la journée ! Rien ne nous arrête, pélerines de "sortie" sur le dos, on y va ! Annie, Jean-Paul avec le souvenir d'une 1ère reconnaissance nous emmènent sur la droite. Après une belle hésitation de ma part, nous revenons sur nos pas (1er aller/retour) direction "le Pélard". Une rude grimpette nous fait passer entre les sapins, mais un marquage non vu se joue de nous (2ème aller/retour !). Enfin, maison typique du Pélard. Direction le sentier en lacets pour le point de vue à la Roche Guillaume. Nous traversons la prairie des Brandt : vue sur la vallée, sur Fournet-Blancheroche et son clocher. Jaqueline (petit déjeuner Ovomaltine) nous guide et ne cédera pas sa place en tête. Arrivés à l'étang du Cul des Prés, pause déjeuner sous un bel abris. Ensuite, nous retournons sur nos pas (3ème aller/retour, mais celui ci était au programme !) direction la combe de Biaufond, gorge sauvage encadrée de hautes roches, de mousses et fougères. Echelles + escaliers nous ramènent le long du lac avant de regagner le parking.

Belle journée, 11 km, encore merci à Annie et Jean-Paul. Pot d'amitié partagé entre Marie-Thérèse et moi (les meilleures sont du mois d'août !)

Francine C.

11/08/2023

Lomont, le 10 août 2023

Beau soleil ce matin, pas beaucoup de monde pour notre rando, seulement 10 personnes. Nous accueillons CELIAN le petit fils de Annie et Gérard.
Départ du stade de la Crochère et tout de suite on est dans l’ambiance : ça monte. Par des petits sentiers agréables à marcher nous voici arrivés sur la chemin de la tour carrée. Ouf, ça y est fini de grimper, Mathilde retrouve le sourire. Au sortir du chemin sur la route, nous traversons le passage de la douleur. René nous donne quelques explications sur l’origine de cette appellation. Nous nous arrêtons pour manger au pied du célèbre franc comtois du Lomont. Il ne s’est toujours pas rendu. Nous avons la visite de cyclistes bruxellois (un couple avec ses deux enfants) qui se rendent à Goumois puis Métabief et cela sans assistance électrique.
On traîne, on n’est pas pressé, Celian peint ; c’est très joli.
Allez allez, on repart pour la ferme des Tilleuls ; on la regarde de loin car c’est propriété privée et voilà la descente vers Pierrefontaine. Attention, c’est pentu et plein de cailloux. On comptabilise deux mini-chutes sans gravité. Voilà le joli village de Pierrefontaine (c’est le mien ).En traversant nous admirons un joli jardin très fleuri. Retour par la route du Lomont et on retrouve le chemin qu’on a pris ce matin. Tout au long de cette rando, nous avons eu le plaisir d’admirer de jolis points de vue ; les villages de Autechaux, Ecurcey, Blamont facilement reconnaissable avec son château d’eau en entonnoir.
Nous voici au stade, je pense que tout le monde est content surtout parce qu’on ne connaissait pas ces sentiers.
13 kms 540 m de dénivelé.
Odile F.

Le Grand Ballon, le 10 août 2023

Ce jeudi 10 août, destination le massif Vosgien. Après avoir traversé Guebwiller et Lautenbach, il faut monter une petite route forestière pas facile à trouver. Le GPS délicatement programmé par Francine nous mène précisément au point de départ, c’est d’ailleurs un cul de sac, la route s’arête là. Chose surprenante, nous sommes les premiers ? Comme c’est bizarre, il n’y a aucune pancarte ni aucun balisage pour attaquer cette rando ?
Les 3 guides du jour arrivent : Jacqueline, Christian et Dédé. Le départ est donné, nous sommes décidément abonnés au chiffre 14.
En passant vers le lac du grand Ballon, le sentier grimpe en lacets jusqu’au col du Haag et sa ferme auberge. Mais où sommes nous ? Plus de la moitié des voitures sont étrangères ? Des Belges, des Hollandais, Allemands, Suisses, quelques Français. Une pancarte indique : Sommet à 40 minutes avec 200 m de dénivelé.
En attaquant la dernière bosse, nous croisons de « Charmantes demoiselles » vosgiennes en robe noire et blanche. Ah ! Ah oui ! mais elles ont 4 pattes celles-là ! Cette race de vache qui donne ces fromages corsés qui accompagnent les patates lors d’une soirée entre amis est peu représentée en France.
Arrivés au point haut du grand Ballon (1424 m) appelé aussi ballon de Guebwiller, la grosse » boule blanche » si souvent aperçue de loin est bien là, on la voit même depuis ECOT quand la météo s’y prête.
Il est décidé de casser la croute ici avec un panorama à 360°. Sous nos yeux, la plaine d’Alsace avec Colmar au loin, le ballon d’Alsace, Servance, la forêt noire et au loin devinez quoi ? Les Alpes Bernoises et ses 4000 m inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco : l’Eiger, le Mönch, la Jungfrau, le Finsteraarhorn. On devine même mais qu’il est rikiki ce sommet du Jura Suisse (1606 m) où nous étions il y a 15 jours.
Si la montée s’est très bien passée, la descente nous posera une petite hésitation dans cette grande forêt où les indications sont plutôt rares. Pas facile de se retrouver dans ces grands sapins, mais la triplette organisatrice après des discutions passionnées va nous conduire au petit parking du départ. Un grand mérite à eux 3 et aux aides ponctuelles de Jean Michel et Jean Paul et leurs GPS.
A l’arrivée, les compteurs indiquent tous 21,5 km et 900 m de dénivelé.
Ce n’était pas une rando de «  brinquins », ni d’enfants de cœur, mais elle restera dans les souvenirs.
Merci aux 14 marcheurs pour le présence.
Christian D.