Blussans, le 31 juillet 2025

Ce jeudi, nous étions 10 à nous retrouver au Centre du village de Blussans.

Nous avons commencé notre rando par la montée de la « Côte de Blussans » avec son point de vue où une statue de la vierge nous attendait. Sur cette bosse, nous avions une magnifique vue sur la vallée du Doubs. Ensuite, nous avons entrepris notre cheminement dans les bois et dans les champs et ceci jusqu’au passage à gibiers de l’A 36. Après une halte boissons, nous avons pris la direction du Rochet, hameau de la Commune de Sourans. Nous avons inscrit à notre compteur les 200 mètres de dénivelé prévu ; il ne restait plus que de la descente et à 12 h 15, nous sommes arrivés à la cabane de chasse où table et bancs nous attendaient. Avant de repartir, Thierry nous a offert de super chocolats. Après le repas, nous avons regagné gentiment le village de Blussans, fin du parcours de 11 kilomètres. André nous a commenté une visite de son Eglise de Blussans.

Avant de nous séparer, nous avons tous partagé chez André une tarte et quelques boissons.

Annie M.

Grillades à Villars sous Ecot, le 24 juillet 2024

Alors cette semi-nocturne se fera ? se fera pas ? Il faut dire que la météo de la semaine est plus qu'aléatoire et aujourd'hui en particulier avec des averses ici et là jusque vers 15h, aussi chacun est à l’affût d'un message d'annulation sur son écran. Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? Non ? Alors en route mauvaise troupe !

Nous sommes donc 22 gais lurons à poser pour la photo de groupe, sans Lucas notre photographe attitré pour cette rando mais avec Alona, Artem jeunes ukrainiens et Célian petit-fils d'Annie et Gérard, avant de nous mettre en route depuis le stade d’Écot en vue de rejoindre la cabane de chasse de Villars-sous-Écot, lieu-dit 'La Cabiotte' où auront lieu les réjouissances.

Très vite nous gagnons la forêt pour descendre jusqu'à la Place des 4 Hommes par un chemin récemment élagué pour notre 'pomme' afin d'épargner nos mollets, par 2 baliseurs diplômés à savoir le 'Gars et sa Dubourgeoise' que nous remercions grandement.

Au chant des oiseaux, nous observons la course des nuages et chacun y va de sa prédilection quant à un éventuel risque de pluie avant la nuit. Mais n'est pas grenouille qui veut !

Pour éviter de se mouiller les pieds, un petit ruisseau s'étant formé au milieu du sentier, un plan Orsec est enclenché, tout de même source de 2 chutes heureusement sans bobo.

Et nous voilà repartis, y a plus qu'à se laisser couler, c'est tout droit et chacun de bavarder, étonné de voir apparaître aussi vite, en point de mire, la cabane au bout du chemin.

Dix personnes viennent grossir les rangs, 10 volontaires qui ont préparé tables, feux pour nous accueillir à bras ouverts. L'apéritif, offert par la MPT se fera dehors sous les rayons du soleil revenu comme par enchantement, mais nous dégusterons nos grillades à l'intérieur pour éviter la fraîcheur de la nuit. Comme habituellement, les tables sont biens garnies d'amuse-bouches et de desserts tous plus appétissants les uns que les autres confectionnés par ces dames, les hommes s'activant autour des barbecues. Bon appétit à tous.

Dans ces instants très conviviaux, on en arrive à oublier l'heure. La nuit tombe déjà, vite on replie les tables, un coup de balai est passé, les glaciaires retournent dans le coffre des voitures et à 21h45 je donne le signal de départ pour le retour; entourée de 19 Lumières, via le village de Villars-sous-Écot, ses fontaines où l'on n'échappe point à quelques gouttes d'eau et à une dernière pause photo, tradition oblige,  le carré des fusillés, l'entrée du moto-cross et les Montôts où, à la dernière minute je bifurque sur la droite permettant aux derniers de reprendre la tête, très vite rejoints par les premiers.

Sur le dernier kilomètre, un vrai spectacle pyrotechnique s'offre à nous, avec à l'arrière les lumières rouges des champs d’éoliennes, au centre nos frontales en majorité blanches et à l'avant le ciel zébré d'éclairs, mais nul besoin de sortir nos capes.

Un grand Merci à tous, randonneurs, bénévoles, MPT, Michelle et Hubert Lepigeon nos hôtes; comme habituellement c'était vraiment un moment unique, à renouveler sans faute l'an prochain.

Bonne semaine à tous, j'ai failli dire rendez-vous en août, mais non il reste le 31.

Michèle M.

Val de Sancey, le 17 juillet 2025

Ce jeudi, c’est une triplette féminine qui va nous guider : Anne, Francine, Claude, un travail d’équipe qui va nous faire passer une belle journée.

Au km 0, à Sancey, les conditions météo sont réunies, ni trop chaud, ni trop froid, pas d’orages annoncés.

Direction Surmont à travers la forêt par un sentier balisé, bon d’accord çà monte un peu, trouvez-moi une rando qui ne monte pas dans notre région ?

Au village de Surmont où mon ami mycologue Michel POULAIN reconnu comme spécialiste des myxomycètes a passé pas mal d’années de sa vie comme instit, nous faisons la pause de midi.

Nous sommes au lieu-dit : Grisfontaine, au lavoir qui date de 1881.

Question : combien de lessives les femmes du village faisaient elles par an ? La réponse est sur une plaque fixée sur le château d’eau : 2 lessives par an !... A chacun de juger.

Le retour par une descente pentue en sous-bois nous fait atterrir à l’espace Nain, spécialité du val de Sancey, c’en est « grebi » Prof, Simplet, Grincheux, Joyeux, complétez la liste…

Les premières maisons de Sancey, toutes en pierre, signent la fin de la ballade, reste plus qu’à trouver une terrasse ombragée. Les randonneurs ont du métier, les voitures sont seulement à 50 m de notre habituel lieu de rafraîchissement.

Voici les chiffres : 15 km, 380m de dénivelé, 12 randonneurs. Une nouvelle rando sur les 3/4 du parcours, Merci Mesdames.

La semaine prochaine au lieu de finir à 17 heures, nous partirons à 17 heures avec les frontales direction Villars sous Ecot.

Christian D.