La Combe Grède
14, notre chiffre fétiche, c’est la 4° rando d’affilée où nous sommes 14 au départ.
Aujourd’hui, çà ne rigole pas, notre guide Dédé a inscrit le Chasseral par la combe Grède. On pourrait l’appeler aussi la « combe raide ». Les conditions météo sont idéales ni trop chaud ni trop froid. Il faut lever les « guiboles » dans ces marches d’escaliers taillées dans la roche ou construites en rondins. Saluons ici le travail de nos amis Suisses pour l’équipement de cette voie.
Alain et Anne, loin devant ont du déjeuner au red bull ! A une intersection avec panneaux indiquant plusieurs parcours, notre Dédé choisit l’itinéraire le plus long ?... On va aller enrouler le Chasseral par la métairie de Morat ? T’as raison Dédé, on ne paye pas les km !
Arrivant à la ferme auberge Neuve, on repart sur la gauche histoire de rallonger la sauce. Vers les 12h45, un petit coin propice au casse croute nous tend les bras, au milieu des gentianes et des campanules agglomérées, face aux 3 lacs : (de Bienne, de Morat et Neuchâtel).
Encore une petite grimpette et l’antenne du Chasseral si souvent aperçue de loin lors de nos ballades du jeudi nous tend les bras, le point haut du jour est atteint :1606 m.
Un paysage à 360° mais sans voir aucun sommet des Alpes, quel dommage !
Le retour par la combe du petit Chasseral va nous offrir une agréable surprise : j’en ai vu un là bas ! Un autre plus loin qui courre dans le coteau ! Serait ce des dahuts ? Je vous rappelle que les dahuts ont la moitié du corps en poils et l’autre en plumes, c’est d’ailleurs le seul animal avec cette particularité. Il y en a un sur le rocher la bas ! Ah ! oui on le voit bien ! Vous l’aurez compris c’est une et non pas un, nous avons pénétré dans la vallée aux marmottes. Il y a même des petits marmottons (photos à l’appui). Merci Dame Nature ! A la métairie des Planes, le groupe prend à droite par un sentier agréable mais pentu, les premières douleurs apparaissent aux genoux, aux cuisses aux pieds. Il reste encore du dénivelé négatif. En rando, souffrir sur le moment, c’est jouir les jours suivants quand on racontera. Patience et volonté nous permirent de rejoindre sans « bobos » le village de Villeret.
On ne doit pas être loin des 20 bornes et des 1000m de dénivelé, bel entrainement pour le futur séjour dans les Alpes.
14, notre chiffre fétiche, c’est la 4° rando d’affilée où nous sommes 14 au départ.
Aujourd’hui, çà ne rigole pas, notre guide Dédé a inscrit le Chasseral par la combe Grède. On pourrait l’appeler aussi la « combe raide ». Les conditions météo sont idéales ni trop chaud ni trop froid. Il faut lever les « guiboles » dans ces marches d’escaliers taillées dans la roche ou construites en rondins. Saluons ici le travail de nos amis Suisses pour l’équipement de cette voie.
Alain et Anne, loin devant ont du déjeuner au red bull ! A une intersection avec panneaux indiquant plusieurs parcours, notre Dédé choisit l’itinéraire le plus long ?... On va aller enrouler le Chasseral par la métairie de Morat ? T’as raison Dédé, on ne paye pas les km !
Arrivant à la ferme auberge Neuve, on repart sur la gauche histoire de rallonger la sauce. Vers les 12h45, un petit coin propice au casse croute nous tend les bras, au milieu des gentianes et des campanules agglomérées, face aux 3 lacs : (de Bienne, de Morat et Neuchâtel).
Encore une petite grimpette et l’antenne du Chasseral si souvent aperçue de loin lors de nos ballades du jeudi nous tend les bras, le point haut du jour est atteint :1606 m.
Un paysage à 360° mais sans voir aucun sommet des Alpes, quel dommage !
Le retour par la combe du petit Chasseral va nous offrir une agréable surprise : j’en ai vu un là bas ! Un autre plus loin qui courre dans le coteau ! Serait ce des dahuts ? Je vous rappelle que les dahuts ont la moitié du corps en poils et l’autre en plumes, c’est d’ailleurs le seul animal avec cette particularité. Il y en a un sur le rocher la bas ! Ah ! oui on le voit bien ! Vous l’aurez compris c’est une et non pas un, nous avons pénétré dans la vallée aux marmottes. Il y a même des petits marmottons (photos à l’appui). Merci Dame Nature ! A la métairie des Planes, le groupe prend à droite par un sentier agréable mais pentu, les premières douleurs apparaissent aux genoux, aux cuisses aux pieds. Il reste encore du dénivelé négatif. En rando, souffrir sur le moment, c’est jouir les jours suivants quand on racontera. Patience et volonté nous permirent de rejoindre sans « bobos » le village de Villeret.
On ne doit pas être loin des 20 bornes et des 1000m de dénivelé, bel entrainement pour le futur séjour dans les Alpes.
Christian D.