Dès l'arrivée de René sur le parking derrière la MPT, nous apprenons que Jean-Marie, notre chef de file, tout comme Évelyne sa binôme, ont déclaré forfait car légèrement indisposés. Aussi, à huit, nous gagnons Solemont dans l'indécision la plus totale. Sur place nous trouvons deux comparses supplémentaires et Jean-Marie qui vient nous donner les grandes lignes de son parcours, nous sommes tout-ouïs, avant de nous abandonner dans la nature... non sans nous avoir délestés de nos casse-croûte puisqu'il a l'intention de nous rejoindre à midi au chalet de chasse de Valonne. C'est bien beau tout ça, mais si nous ne le trouvons pas ce chalet, nous aurons le bec dans l'eau et lui va se lécher les babines !
Alors, vous descendez le village et prenez, je ne me rappelle déjà plus si c'est à droite ou à gauche, un chemin qui grimpe un bon bout de temps dans la forêt. Au sortir du bois, par les pâtures, vous continuez tout droit en direction des éoliennes là-haut sur la colline, jusqu'à la cuve. Sauf que, il y a bien une énorme cuve mais elle se promène derrière un tracteur, impossible à suivre ! trêve de plaisanterie, elle est là la cuve toute dissimulée par les ronciers. Heureusement nos trois hommes Gérard, Michel et René la repère facilement.
Ensuite, vous prenez à gauche, là j'en suis à peu près sûre, et traversez un petit bois jusqu’à la route qui vous mènera au chalet de chasse, au pied des éoliennes du parc du Lomont.
Voilà c'est fait, sauf que nous avons marché si vite que nous y sommes avant 11h, avant que Jean-Pierre le mari d’Évelyne, ne nous en ouvre la porte et que Jacqueline et Jean-Marie ne nous apportent nos casse-croûte avec l'apéro. Et alors là, Jeanne, tu aurais apprécié, plus de 2h de pause bien attablés à l'ombre, le soleil commençant à gagner du terrain sur les nuages.
Avant son départ, petite piqûre de rappel de Jean-Marie quant à la fin du parcours, et nous voilà repartis à droite, là j'en suis complètement sûre il vient de nous le dire, par le chemin qui serpente le long des éoliennes, toujours aussi majestueuses dans ce ciel encore ennuagé. Vous passez par la ferme des Fontenis, laissez les trois dernières sur votre gauche avant de descendre sur la ferme du Mont où, sur le mur en pierres d'un ancien bâtiment, Michel nous invite à contempler une très belle croix dont il ne connaît malheureusement pas l'origine.
Et ensuite c'est là que ça se corse un peu, dans la pâture, si je me souviens bien, nous aurions dû prendre à travers un petit bois, un sentier débroussaillé tout spécialement à notre intention pour arriver sur la route en contrebas et gagner la voie romaine. Sauf que, toujours trop pressés, nous l'avons longé ce petit bois sans jamais y pénétrer, pas grave notre sens de l'orientation nous a fait retomber sur nos pieds et sur un fléchage qui nous a remis dans le droit chemin enfin sur la voie romaine où nous avons pu constater les traces laissées par les roues cerclées de fer des chariots sur les pierres qui formaient cette voie.
De là, le chemin était tout tracé pour notre retour au village, un chemin le matin très fréquenté par limaces et escargots, l'après-midi enjolivé par une multitude de fleurs multicolores : érigerons ou vergerettes du Canada d'après René notre érudit en matière de flore, gaillets jaunes ou blancs, épilobes, centaurées, chicorées, vipérines, campanules marguerites, potentilles... Retour tout en douceur, d'autant plus que Jacqueline et Jean-Marie nous attendaient pour déguster jus de pommes et cidre bien au frais de leur salon.
Et n'en voilà une rando quelle fût belle ! Comme quoi, il y a toujours une solution pour des randonneurs assoiffés d'espace et de grand air.
Un grand merci à nos hôtes du jour, un prompt rétablissement à tous nos éclopés et une bonne fin d'été à tous même si les jours tout comme la température diminuent clairement.
Michèle M.
Alors, vous descendez le village et prenez, je ne me rappelle déjà plus si c'est à droite ou à gauche, un chemin qui grimpe un bon bout de temps dans la forêt. Au sortir du bois, par les pâtures, vous continuez tout droit en direction des éoliennes là-haut sur la colline, jusqu'à la cuve. Sauf que, il y a bien une énorme cuve mais elle se promène derrière un tracteur, impossible à suivre ! trêve de plaisanterie, elle est là la cuve toute dissimulée par les ronciers. Heureusement nos trois hommes Gérard, Michel et René la repère facilement.
Ensuite, vous prenez à gauche, là j'en suis à peu près sûre, et traversez un petit bois jusqu’à la route qui vous mènera au chalet de chasse, au pied des éoliennes du parc du Lomont.
Voilà c'est fait, sauf que nous avons marché si vite que nous y sommes avant 11h, avant que Jean-Pierre le mari d’Évelyne, ne nous en ouvre la porte et que Jacqueline et Jean-Marie ne nous apportent nos casse-croûte avec l'apéro. Et alors là, Jeanne, tu aurais apprécié, plus de 2h de pause bien attablés à l'ombre, le soleil commençant à gagner du terrain sur les nuages.
Avant son départ, petite piqûre de rappel de Jean-Marie quant à la fin du parcours, et nous voilà repartis à droite, là j'en suis complètement sûre il vient de nous le dire, par le chemin qui serpente le long des éoliennes, toujours aussi majestueuses dans ce ciel encore ennuagé. Vous passez par la ferme des Fontenis, laissez les trois dernières sur votre gauche avant de descendre sur la ferme du Mont où, sur le mur en pierres d'un ancien bâtiment, Michel nous invite à contempler une très belle croix dont il ne connaît malheureusement pas l'origine.
Et ensuite c'est là que ça se corse un peu, dans la pâture, si je me souviens bien, nous aurions dû prendre à travers un petit bois, un sentier débroussaillé tout spécialement à notre intention pour arriver sur la route en contrebas et gagner la voie romaine. Sauf que, toujours trop pressés, nous l'avons longé ce petit bois sans jamais y pénétrer, pas grave notre sens de l'orientation nous a fait retomber sur nos pieds et sur un fléchage qui nous a remis dans le droit chemin enfin sur la voie romaine où nous avons pu constater les traces laissées par les roues cerclées de fer des chariots sur les pierres qui formaient cette voie.
De là, le chemin était tout tracé pour notre retour au village, un chemin le matin très fréquenté par limaces et escargots, l'après-midi enjolivé par une multitude de fleurs multicolores : érigerons ou vergerettes du Canada d'après René notre érudit en matière de flore, gaillets jaunes ou blancs, épilobes, centaurées, chicorées, vipérines, campanules marguerites, potentilles... Retour tout en douceur, d'autant plus que Jacqueline et Jean-Marie nous attendaient pour déguster jus de pommes et cidre bien au frais de leur salon.
Et n'en voilà une rando quelle fût belle ! Comme quoi, il y a toujours une solution pour des randonneurs assoiffés d'espace et de grand air.
Un grand merci à nos hôtes du jour, un prompt rétablissement à tous nos éclopés et une bonne fin d'été à tous même si les jours tout comme la température diminuent clairement.
Michèle M.